Babylone était bien |comme une coupe d’or |entre les mains de l’Eternel ;
elle enivrait la terre entière ;
les peuples ont bu de son vin ;
et c’est pourquoi les peuples |en ont perdu le sens.
Babylone est tombée |soudainement, |elle est brisée.
Lamentez-vous sur elle ! |« Mettez du baume sur ses plaies,
et peut-être guérira-t-elle ! »
« Nous avons soigné Babylone,
elle n’a pas été guérie. »
« Abandonnons-la donc !
Et que chacun de nous |rentre dans son pays,
puisque son jugement |touche à présent le ciel
et qu’il atteint les nues[a].

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Footnotes

  1. 51.9 Réminiscence en Ap 18.5.